With You[PV Koki Tanaka] (!) Yaoi+lemon(!)

With You :

Comme tout le temps, écoutant la pluie et le déchirement
Comme tout le temps, assis seul dans un coin feuilletant un livre

Il y a de la peur pour le futur, que je ne peux pas voir
Que quelqu'un m'enlace. Je veux juste être aimé

Ces morceaux d'amour
Pour les arrêter de s'échapper, du bouleversement, je les étreindraient fort avec mes deux mains.
Même les saisons passent comme ca, je ne peux pas oublier cette gentillesse.

Je me souviens encore de ce soleil, légèrement éclatant
Il m'enveloppait doucement, juste comme des pétales de fleur dansant.

Ce chemin, ce paysage, les couleurs ne changeront jamais
Enfantin, douce brise qui caresse mes joues

Regardant le ciel
Il n'y a rien, mais d'innombrables nuages, mon coeur est pris
Sous le soleil frais, tout de suite, je commence a m'habituer à mon sourire

Les fleurs de cerisiers détruisent le chemin que nous avions pris une fois
Les souvenirs qui ne changeront jamais, ces mains que j'ai pris
Tu souriais tout le temps, tu t'es toujours sentis si bien
Encore, nous ne pouvons plus retourner à ce temps à nouveau

Les pétales de fleurs de cerisier
éparpillée dans mon coeur, mais elles ne fleuriront plus.

Un jour, encore une fois, je marcherai sur ce "chemin". Pour que les fleurs refleurissent.

Je marchai dans les couloirs de la JE, mes écouteurs enfoncés dans mes oreilles. Mon cœur me faisait mal. Merde, a cause de cet abrutit d’Hiroto, je devais aller voir Koki et tout lui avouer. Je posai une main sur la poignée. Il était dedans, je le savais, et ça me faisait peur. J’appuyai doucement dessus. Il était allongé sur le canapé, ses cheveux bruns recouvrant ses yeux fermés. Je refermai la porte, nous enfermant à clé dedans.

« Tana… »

Il se redressa. Quand je rencontrais son regard noir, je perdis tout ce que j’allais dire.

« Nani Ueda-chan ? »

Je me mordillai la lèvre, le rouge aux joues. Il se leva, s’approchant félinement de moi. Ses doigts se posèrent sur ma joue rosie. Il me plaqua au mur en me fixant sensuellement.

« Nani, Tatsuya ? » murmura t(il d’une voix envoutante.

Je me redressai. Quand il rencontra mon regard noir.

« Nani Ueda-chan ? »

Il se mordilla la lèvre, le rouge aux joues. Je me levai, m'approchant félinement de lui. Mes doigts se posèrent sur sa joue rosie. Je le plaquai au mur en le fixant sensuellement.

« Nani, Tatsuya ? » murmurai-je d’une voix envoûtante. Je déposai un baiser sur son front, puis il baissa la tête. Cette fois-ci je soulevais sa tête pour pouvoir pénétrer ma langue dans sa bouche après avoir franchi la barrière de ses lèvres, tout e passant mes mains derrière lui pour ouvrir la porte fermée à clé et me retirer timidement, le laissant seul.

Combien de kilomètres ai-je parcouru ?
Si je me retourne, je ne trouve qu'une traînée de larmes
J'ai été blessé et en ai blessé d'autres en retour
Aujourd'hui, j'arrive enfin où tu es

Une chose nommée amour
C'est seulement toi
J'en demande toujours trop

Une chose comme l'amour
Si tu n'es pas là, alors ça n'existe pas
Je serais incapable de survivre

M'aimes tu vraiment de tout ton coeur ?
Même si maintenant je n'en suis pas sur yeah
Tout seul, j'ai atteint cet endroit dont je rêvais, où tu étais, là, frissonnante


Ne pleure pas
Je ne vais pas te laisser partir
Même si cela signifie que je perdrais tout

Une chose comme l'avenir
Si tu n'es pas là, alors je ne peux pas le voir
Je n'en ai pas besoin

Les rayons de soleil du petit matin
Se reflétaient sur ton visage endormi
Je souriais, embarrassé
Parce que nous étions heureux et je souhaite que l'amour que j'ai ressenti ces jours là
Puisse continuer pour toujours

Une chose nommée amour
C'est seulement toi
J'en demande toujours trop

Une chose comme l'amour
Si tu n'es pas là, alors ça n'existe pas
Je serais incapable de survivre

Il n'y a pas de façon de t'aimer encore plus, c'est comme si c'était impossible

Une chose comme l'avenir
Si tu n'es pas là, alors je ne peux pas le voir
Je n'en ai pas besoin.

Choqué et le coeur en miettes, je me laissai tomber au sol. Mais a quoi jouait-il bon sang?! Je me mis à haleter en hurlant de rage. Une larme solitaire dévala ma joue pour aller se perdre sur ma peau bronzée. Je me relevai en tremblant. Je me mis à courir dans les différents couloirs de la Jimusho sans regarder où j'allais, si bien que je rentrai dans quelqu'un. Ryo. Il m'attrappa par le col de la veste pour me jeter violemment contre le mur en me frappant de toute ses forces.

"Princesse! Arrete de me chercher! pourquoi je dois supporter de voir ta gueule tout les jours?! Hein?! dis le moi pourquoi?! j'en peux plus!!"

Je me recroquevillai sur moi meme. A ce moment là, je l'apperçu, Koki, il nous regardait.

Je regardai la scène, enrager.

My name is Dangerous Cat et je ne vais pas laisser cet idiot jeter mon ange contre des murs ou le frapper. Waru waru. Je vais lui règler son compte à celui là ; il va souffrir et il comprendra la douleur de mon Ueda et surtout il va réfléchir à son geste ce sal...*** Mais je vais quand même aller voir Tatsuya pour voir s'il va bien où s'il est en état de peur ou de tage. Grrrrrrrrrrr. Mon pauvre petit amour a l'air désespéré.

"Ne! Il t'as fais mal Tatsu?"

Ueda me regarda dans les yeux et enfoui sa tête dans ses genoux.

Je gromelais des insultes envers Ryo. Voyant Uepi qui ne me répondait pas, je déscidai de partir à la rencontre de cette brutte. Relaissant mon aimé à nouveau seul.

Je me demande
Pourquoi le reste du monde disparaît alors que nous sommes assis ici ce soir ?
Oublions nos différences ce soir
Je me demande
Est-ce que ça ne sera que toi et moi ?
Je me demande Si tu m'aimeras ce soir?
Je me demande Si je t'aimerais chaque soir.


"Ne! Il t'as fais mal Tatsu?"
"un peu..."murmurais-je trop faiblement pour qu'il m'entende.

Je le regardai dans les yeux puis enfouit mon visage dans mes genoux.
Il partit à la poursuite de Ryo. En le voyant s'éloigner, je me levai d'un bond.

"Laisse moi regler ça! Je n'ai pas besoin qu'on me protège."

En passant à côté de Ryo je lui murmurais une phrase:

"Je t'aurais en dehors de la JE et te ferais ta fête. Bang."

Sans bruit je retournai à notre salle de repos. Des larmes se mirent à dévaler mes joues alors que je me recroquevillai contre le mur, laissant des sillons. God, que je suis faible en fait! je suis incapable de me battre depuis la mort de mon petit frère!
La porte s'ouvrit mais je ne vis pas qui venait. Tout ce que je sentit, c'est des bras entourant mes épaules et un torse qui se colle au mien.

Des pétales de fleurs douces
Dansantes colorent cette ville
Et ensemble l'odeur éphémère
D'un vent de printemps soufflant

Comme attiré par quelquechose
J'ai soudainement levé la tête
Nos yeux se sont croisés et le monde a tremblé
A tous deux nos coeurs ont vibré

Les heures passées avec toi
Sont vraiment comme la lumière
J'aime ton visage souriant
Timidement et innocemment

Les pétales de fleurs chantants au vent de printemps
Nous enveloppent toi et moi simplement
La chaleur de tes doigts qui ne s'efface pas
De temps en temps nous éloigne l'un de l'autre

Les mots que tu disais ce jour-là
"Tu es comme le printemps"
Et "merci de m'avoir changé
En de différentes couleurs"

Les choses auxquelles tu penses
Toutes sont aussi les choses auxquelles je pense
Lorsque je comprend cela
Toutes mes inquiétudes s'effacent

Je me rappelles en fermant les yeux
De cette époque sans arrières-pensées
Notre futur à tous les deux était
De la couleur de ce ciel bleu

Les pétales de fleures chantants au vent de printemps
Nous enveloppent toi et moi simplement
La chaleur de tes doigts qui ne s'efface pas
Je l'attrape pour ne pas la laisser s'échapper

Ce serait bien que ça continue pour toujours pour toujours
Tous ces jours heureux
Ces rêves dont tu parlais ce jour-là
Réalisons-les tous les deux ensemble

Ces rêves qui nous sont si chers

Tout d'abord marchons côte à côte dans
La ville des fleurs dansantes
Où nous nous sommes rencontrés
Sentons les rayons du soleil de printemps
Et rions tous deux ensemble

Ces rêves pour toujours

J'ouvrit la porte en essayant de ne pas être vu pas Tatsu et faire en sorte que la seule chose qu'il sente, c'est mes bras entourant ses épaules et mon torse qui se colle au siens.

"T'es dans une salle de repos Uepi, tu dois te détendre ici! Viens!"

Je nous ammnai vers une table de massage et commençai à descendre le long de son corps. Puis je déposai mes doigts soigneusement sur ses hanches pour les faire glisser à leur tour, abaissant son pantalong et son boxer jusqu'à ses pieds et fixai son entre-jambes exité et envieux de me faire l'amour. Là je m'arrêtai et tout en me levant je le serrai dans mes bras (moins musclés que lui mais bon).

"T'es assez en forme?"

Puis je me retournai pour m'allonger et le laisser me déshabiller.

"T'es dans une salle de repos Uepi, tu dois te détendre ici! Viens!"

Il me tira vers une table de massage pour me masser tendrement. A un moment, je crus sentir ses doigts retirer mon pantalon et mon boxer mais je n'en étais pas sur car l'euphorie que je ressentais me faisait perdre la tête. Je ne revins à la réalité que quand il s'arrêta pour me serrer dans ses bras.

"T'es assez en forme?"dit-il en se retournant et en s'allongeant.
"Que..."

Je rougis en voyant son regard sensuel une fois de plus. God! seulement Kame avait ce putain de regard, pas lui, non, impossible. Me rappelant alors du gage que j'avais, je lui murmurais tout bas un "je t'aime Na-kun". Le regard déjà emplis de larmes de peur qu'il me rejette, je baissai la tête après avoir déposé un tendre baiser sur ses lèvres chaudes et appétissantes.

"Je t'aime depuis toujours...enfin, je ne sais toujours pas si je pourrais résister à quelqu'un d'autre mais pour l'instant c'est avec toi que je veux passer le reste de ma vie."

Je relevai la tête, affrontant enfin son regard.

"Je t'aime depuis toujours...enfin, je ne sais toujours pas si je pourrais résister à quelqu'un d'autre mais pour l'instant c'est avec toi que je veux passer le reste de ma vie."

Il releva la tête, affrontant mon regard. Je lui pris ses mains pour les passer autour de ma taille et poser les mienne sur ses joues pour les carresser tendrement avec mon pouce et déposer un baiser envieux. J'éloignai mes lèvres des siennes et les rapprochai à nouveau pour faufiler lentement ma langue entre ses lèvres gracieuses.

"Ça va mieux? dis-je d'une voix irrésistiblement sensuelle.

Je déchirai mon t-shirt, lui dévoilant mon tatooage : "Je t'M Uepi!". Il le fixa pendant quelques secondes.

"Tu vas trouver ça égoïste mais j'ai envie de toi, là, maintenant! Prends-moi si tu m'aime vraiement, je t'en supplie. Ueda!"

Il se mit à pleurer et me tourna le dos.

"Tu vas trouver ça égoïste mais j'ai envie de toi, là, maintenant! Prends-moi si tu m'aime vraiment, je t'en supplie. Ueda!"

Je me retournai pour masquer mes larmes à Koki. Mon dieu! il m'aimait! Je repliai mes mains contre mon torse, les cachant, faisant ainsi comme une couverture protégeant mon corps.

"Je...je sais que je devrais pas te dire ça mais...je suis pas le gentil mec que tu penses que je suis... Na-chan...je..."

Je fus incapable de terminer ma phrase. Les pleurs étaient tellement fort que j'avais du mal à respirer. Je me levai, me rhabillant pour ensuite tourner vers lui, un visage baigné de larmes.

"Sorry ~ "

Je me précipitai en dehors de la salle, courant vers la sortie de la JE. En chemin je bousculai Toma qui me beugla dessus mais je n'y fis pas attention. Je courus plus vite encore, jusqu'à une ruelle où je m'arrêtai, essoufflé et tremblant. Je sortis mon portable pour en admirer le fond. God, que Seiichiro me manquait! Je caressai doucement son visage immortalisé, souriant tendrement mais faiblement à travers les larmes qui ne voulaient s'arrêter.

Je me trouvai seul, nu, désemparé, confus, dérorienté et idiot d'avoir été aveuglé par l'amour.

"La prochaine fois j'y réflichais à deux fois. Pff quel abruti je suis, j'aurai dus m'en douter."

Je poussai un cri de douleur et de désespoir car comme je lui avais dit : il est ma seule raison de vivre (et ma carrière). Je m'enfuis par kb porte de derrière, me frappant la tête et me griffant le visage.

"Tatsuya je t'aiiiiiiiime! Uedaaaaaaaa."

Je traversai plusieurs routes, sans me soucier de la mort que je frolais à chaque instant. Quand soudain, je trébuchai sur un trotoire et tombai sur Seiichiro.

"T'as pas vue Tatsu? Il vient de m'envoyé un SMS pour j'aille le voir à la sortie du JE.

Iee. Pourquoi?

Je sais pas, il m'a juste dit qu'il allait me faire une surprise. Mais ne lui dis rien, j'étais sensé ne rien dire à personne."

Je comprenai que c'était lui que mon Uepi avait choisi. Je lui annonçai alors :

"Hmm... toi... tu as gagné son coeur! S'il te plait ne lui dit pas qu'on s'est parlé et qu'on a parlé."

Je repartis, le laissant sans voies et incompréencible. Puis il me cria :

"Koki... Tout à l'heure je t'ai entendu crier son nom! Il y a eu un problème?"

Je le regardai, trampé de toutes les larmes de mon corps et et le regard froid, puis je reparti, tout aussi imprudent qu'avant notre percutation. Je le laissai repartir, interrogé par mon geste envers lui.

J'avais entouré mes genoux avec mes bras, cachant ensuite dedans. Les gens qui passaient, me regardaient tous avec de drôles d'airs, riant sûrement de ma faiblesse mais je n'avais même pas la force de leur envoyer un regard assassin. Je resserrai cet étau protecteur dans lequel je m'étais enfermé, regrettant amèrement l'époque où je n'étais amoureux que de moi même. J'aurais tellement aimé rester comme avant, indifférent à tout ce qui m'entourait, ne faisant attention qu'à ce qui se rapportaient à ma propre personne. Sentant mon téléphone vibrer dans ma main, je le portai à mon oreille, répondant d'une voix tremblante.

"Moshi..."
"..."
"Hai...Non je ne suis pas chez moi, pourquoi?"
"..."
"Ah, oui, désolé j'avais oublié notre rendez vous Seiichi..."
"..."
"Non je ne viendrais pas. Bye"

Sans attendre de réponse je raccrochai pour ensuite me cacher de nouveau. Un petit garçon vint alors s'accroupir devant moi. Je relevai al tête, l'ayant aperçu entre mes jambes.

"Toi aussi t'es triste? Toi avoir perdu ton Papa? Ichiro a perdu le sien il y a deux mois, mais tu sais, Ichiro ne pleures jamais devant maman parce que maman elle saurait que Ichiro ne peut pas la protéger alors Ichiro être fort pour protéger maman et Haru"
"Il faut être fort, mais moi ce sont des douleurs de grand et même Ichiro ne pourrait se retenir de pleurer."

Le petit déposa une bille bleu et rose au creux de ma main.

"Voilà pour Nii-chan, ca donne du courage! Ichiro l'avoir acheté pour Maman mais Ichiro a peur que Maman pleure alors Ichiro ne lui donne pas"
"Ichiro! reviens là immédiatement!"
"Hai Ka-san! Allez Nii-chan! puisqu'Ichiro est fort, toi aussi etre fort!"
"Hai, au revoir Ichiro, prend soin de toi"
"Toi aussi Nii-chan!"

L'enfant partit en courant rejoindre sa mère. J'observai la bille. Il y avait un trou juste assez grand pour que je puisses l'attacher à la chaine que je portais au cou, ce que je fis. Une energie nouvelle monta en moi. Non, je ne m’apitoierais pas sur mon sort! il fallait que je sois fort! Je quittai la ruelle pour marcher un peu dans les rues, ne regardant pas où j'allais, traversant la route, ne voyant pas la voiture foncer sur moi...

Là je m'arrêtai, voyant Ueda quelques mètres plus loin qui se fut percuté et un dixième de secondes plus tard, une voiture me rentra dedans et nous fîmes jeté l'un vers l'autre au milleux de la route assomés. J'eus le temps d'entendre les urgences arriver et de regarder mon amant avant de perdre connaissance. Je me réveillai à ses côtés, n'osant plus le regarder. Environ une demi heure plus tard, il se réveilla. Je lui tournai alors le dos, faisant semblant de dormir. Je regardai discrètement l'écran où je pus voir que mon poult était très lent, ma tension très basse et j'aperçu un tuyau qui rejoihnait ma bouche pour que je puisse respirer, car le choc de la voture en avait provoqué un autre au niveau respiratoire. Je décidai donc de débrancher cette machine et mettre fin à mes jours.

"Je... Je pense que tu ne pourras jamais m'aimer autant que moi je t'ai aimé, je t'aime et t'aimerais. A... Adieu mon ange. déclarai-je faiblement"

Je l'entendi surauter, puis j'arachai le tube et ensuite plus rien...

Les étoiles envahirent mes yeux, je n'entendit plus rien, je ne sentis plus rien non plus. Dieu que c'était bon!
Je fis un beau rêve alors. Mon frère était là, Seiichiro aussi, et Tana-chan était devant moi. Il était plus que magnifique. Mon cœur avait bondit dans ma poitrine. Je m'étais alors approché, j'allais poser mes lèvres sur les siennes quand...
Je me réveillai alors, grognant de frustration car je ne saurais pas la suite. J’avais atrocement mal à une côte mais la pire des douleurs était celle qui tenaillait ma jambe. Raaah et en plus on avait un concert dans pas longtemps! Lui, il me tournait le dos, mais je savais qu'il ne dormait pas. J’appelai alors une infirmière qui se pointa quelques minutes plus tard.

"Ah! vous êtes réveillés!"
"Vous n'auriez pas quelque chose à me donner? j'ai mal à la tête!"
"Heu...si, je reviens."

"Je... Je pense que tu ne pourras jamais m'aimer autant que moi je t'ai aimé, je t'aime et t'aimerais toujours. A... Adieu mon ange. déclara alors Koki faiblement"

Le bruit de l’électrocardiogramme de Koki fit *biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip*, la jeune femme se précipita vers lui avec l'un de ses collègues. Moi je ne pouvais empêcher mon cœur de battre à une vitesse folle, j'avais peur. Ils réussirent à lui remettre le tuyau dans la bouche tandis que moi je le fixai, horrifié.

"Tu...Tu as osé penser à te suicider?!"beuglais-je, hors de moi.
"Ueda-san, calmez vous!"
"NON! COMMENT PEUX TU PENSER A ABANDONNER KAT-TUN?! ET MOI? TU AS PENSER A CE QUE J'ALLAIS RESSENTIR?! MAIS T ES VRAIMENT CINGLE! ON A BESOIN DE TOI! KAME, JUNNO,NAKA ET JIN ILS NE TE LE PARDONNERONT PAS SI TU LE FAIT! MÊME MORT ILS TE HAÏRONT! et moi aussi."

La dernière phrase, je l'avais murmuré, trop faible pour pouvoir la dire plus fort. Les paroles d'Ichiro me revinrent en mémoire et une larme essaya de passer mes paupières.

"Je t'aime putain!"beuglais-je après avoir récupéré mon souffle.

"Tu...Tu as osé penser à te suicider?!"beuglais-je, hors de moi.
"Ueda-san, calmez vous!"
"NON! COMMENT PEUX TU PENSER A ABANDONNER KAT-TUN?! ET MOI? TU AS PENSER A CE QUE J'ALLAIS RESSENTIR?! MAIS T ES VRAIMENT CINGLE! ON A BESOIN DE TOI! KAME, JUNNO,NAKA ET JIN ILS NE TE LE PARDONNERONT PAS SI TU LE FAIT! MÊME MORT ILS TE HAÏRONT! et moi aussi. Je t'aime putain!"beuglait-il après avoir récupéré son souffle.

Soudain je le fixai, étoné. Je lui sautai dans les bras, en faisant attention à sa cuisse blessée. Je souflai, soulagé de ne pas avoir perdu tout son amour. On s'assoupi l'un sur l'autre endant une petite demi-heure. Quand on se réveilla, nous fûmes envahis d'une envie folle de se faire l'amour.

"Toi aussi t'as envie?" murmurai-je doucement à son oreille.

Il secoua la tête, signe que oui. Je l'aidai à enlever ses habits après que l'infirmière soit partie et avoir fermé la porte à clé.

"Attends... Je crois que je ne mérite pas ton dérir."

"Attends... Je crois que je ne mérite pas ton désir."
"Tu le mérites amplement mon amour"

Spoiler:

Le lendemain: Mon dieu! j'avais mal! mon pauvre dos TT. Je me trainais dans les couloirs de l’hosto comme un handicapé. Raaah et putain! qui y a au bout du couloir pour tout arranger?! Cet abrutit de Ryo!
Heureusement, il passa à côté de moi sans rien faire. Je lachai un soupir de soulagement avant de continuer à marcher vers le téléphone. Quand j''eus enfin ma mere à l'autre bout, elle se mit à gueuler comme quoi j'étais un insoucient. Finalement, je pus avoir une conversation normale ou presque avec elle. Je lui parlai de tout et de rien et...

"N'oublies pas de m'apporter des onigiris! j'ai trop la dalle! on se rejoint dans le jardin dans 10 minutes!"

Et oui, je ne vous ai jamais dit que mon objet prefere chez moi est le frigo? Et ben si! je suis un fan de frigo! oui je suis bizarre, mais chut, maintenant je me rends dans le jardin et vois ma mere arriver avec: TROIS GROS ONIGIRIS!!

[quote="Tatsuya"]
"Attends... Je crois que je ne mérite pas ton désir."
"Tu le mérites amplement mon amour"

Spoiler:

[EN COURS XD]

Désolé, je réponds ou pas? lol

[Le flood sont les paroles hors rp XD. Tu peux repondre ^^]

Quand je me réveillais, je découvris la place de mon amant vide et encore tiède. Affolé, je regardais autour de moi et aperçus Ueda par la fenêtre qui mangeait goulument, comme un petit garçon mangerait un paquet de bonbon. Je vis ensuite sa mère qui le regardait tristement et inquiète. Je me cachair et sortais discrètement mais les infirmières m'empêchèrent de partir. Je jeur expliquai que je me sentais beaucoup mieux et que j'avais besoin de partir, de prendre l'air loin de la ville et elles comprirent enfin. Puis, une fois sur le parking, j'envoyais un texto à Tatsu pour lui dire que je rentrais chez moi et que j'avais passé la plus belle nuit de ma vie et lui expliquais que c'était parce que sa mère ne m'aimerait pas. Et il m'appela, me supliant de rencontrer sa oka-san, puis j'acceptais mais à condition que ce ne soit pas aux allentours de l'hopital.

"Je te propose... Chez toi. Ça te va mon ange?
-...
-Mais il faudra que tu fasse en sorte que les aides-soignantes te laisse sortir.
-..
-Iie ne t'inquiète pas, ça va fonctionner. Je vous attends devant.
-...
-Hai moi aussi je t'aime.

Je portai mon regard sur mes onigiris. Mon estomac avait cessé de grogner, et je ne cessais de penser au groupe. A ce moment, j'avais oublié Koki, Ryo, Pi, je ne pouvais penser qu'à KAT-TUN. Qu'allais t’ont faire si les fans découvraient que j'étais gay? Est ce que notre groupe en subirait les conséquences? Je me mordis la lèvre histoire de passer un coup de fil vite fait, à Jonny sama.

"Moshi, c'est Ueda."
"..."
"Hai. Je vous annonce que je pars en jet privé à Hawaï dès ce soir, y a pas de mais. j'ai absolument besoin de vacances! sans ça, vous verrez ma lettre de démission sur votre bureau ou ma mort dans les journaux. "
"..."
"Merci...et désolé d’abandonner le groupe pendant une semaine."

Sans plus de mots, je m'éclipsai de l'hôpital,allant préparer mes affaires, puis j'appellai mon jet privé qui passa me prendre dans la soirée. Arrivé à Hawaii, j’appelais Koki, m'excusant puis j'allais m'allonger sur le sable, m'y endormant en rêvant d'eux.

"Moshi?
-...
-Hein? Et nous deux alors?
-...
-Bon très bien... Je... Je vais partir moi auss, histoire de réfléchir à nous et puis ça me changera les idées.
-...
-Je pense aller en Corrée!
-...
-Et si tu ne reviens pas, je resterais quand même quelques temps là-bas!
-...
-Hai, bon ben... On se dit juste salut alors?! M.., je commençais à pleuré, Mais je t'aime quand mème! Et j'èspère que ce n'est qu'un au revoir! Bye... Tu..Tu vas me manquer, je fondis en larmes et je raccrochai après avoir déposé un petit kisu sur l'appareil, JE T'AIME!
-..."

Je me collai contre un mur, je glissai le long de celui-ci, en pleurs. Je chuchotai son nom deux ou trois fois, espétant encore qu'il revienne. Fatigué par mes pleurs et la nuit que je venais de passer sans dormir, je m'assoupi. Quand je me réveillai, les lampadaires s'allumaient. Je pensait alors que ce serait un peu tard pour appeler mon jet privé et mon patron.
Je me levai alors, un peu engourdi, pour passer une nuit correcte et confortable à un hotel (le plus proche car j'étais encore un peu fatigué). À mes pieds, je trouvaient quelques pièces.

"Tiens, c'est bizarre, des personnes qui sont passées ont dues me prendre pour un SDF. Je vais les garder précieuement pour en faire don à un orphelina."

Je les ramassai et commençai à marcher en direction de l'hotel le plus proche.

Le lendemain : Je me réveillai en pleine forme et je déscidai d'aller reloindre mon amant à Hawaï.

"Uepi!?
-...
-Je...je vais venir avec toi.
-...
-Quoi? Tu es déjà arrivé là-bas?
-...
-Bon c'est pas grave, l'important c'est qu'on se retrouve. hein!?
-...
-Ok. Bon ben j'arriverais tard ce soir.
-...
-Hahaha. Hai, bien sûre que je te rejoindrais dans le lit.
-...
-Bye. À ce soir mon ange.
-...
-Kisu
-..."

J'appelais mon patron et le conducteur de mon jet privé. Arrivé à Hawaï, je parti en taxi à ce fameux hotel où mon Tatsu prenait ses vacance. Quand j'entrais dans sa chambre,je lui sautais dans les bras, le couvrant de baisers puis il me regarda d'un air désolé.

"Que... Qu'est ce qu'il y a Uepi? Tu n'es pas content de me voir?
-...
-Alors qu'est ce que c'est? Tu as une mauvaise nouvelle?
-...
-P... Pourquoi? Qu'est ce que j'ai fait qui n'allait pas?
-...
-Mais je pensais qu'on était parti sur de bonnes bases! C'est impossible, je... pfff pourquoi je parle, je dois respecter ton choix, c'est la vie!?"

Je lui tournai le dos pour lui cacher ma tristesse même si je savais qu'il s'attendait à me voir pleurer. Je fis deux, tois pas pour apuyer sur sur la poignée qui ne devenait plus qu'une page de ma vie que je devais tourner, mais il poussa un soupir de pitiée car il savait qu'il me faisait beaucoup de mal en cassant notre relation.

"Ne! Tu as pitiée de moi?!... Tu ne devrait pas... Iie, ne regrette pas s'il te plaît Tatsuya... Bon ben je te dis à bientôt ou à Dieux!"

Je ne le laissai pas répondre et j'ouvri la porte brusquement , laissant le courant d'air que je créai s'engoufrer dans mes oreilles et refermai la porte tout aussi rapidement puis je courrai pour être sûre de ne pas l'entendre m'appeler. Je m'enfui en bus dans un coin de la campagne, toujours en pleurs, puis je fis du STOP jusqu'au temple boudhiste le plus porche et y prendre refuge pour pouvoir apaiser mes souffrance en priant le plus possible et purifier mon esprit, oubliant tous mes problème et tout ce qui m'entoure (en particulier les KAT-TUN et mon travail). Après une semaine là-bas je me sentis complètement vidé et libéré de tous ces soucis minuscule par rapport au gros problèmes de la vie de ces pauvres personnes qui ne vivent pas dans le besoin. Je descidai de partir en Corée pour terminer mes vacance et oublier notre histoire avec Ueda. Je rappelai une seconde fois mon jet et disparaitre pendant quelques temps dans la tête Tatsuya.

Soudain,... Ueda... Tatsu revint dans ma tête.

[i]Qu'est ce qu'il va penser? Il va sûrement croire que c'est de sa faute?![i]

"Uepi" criai-je soudainemnt.

Je sorti mon portabme en vitesse et l'appelai sans attendre, il ne répondi pas. Je me rasseyai brutalement, les yeux remplis de larmes, pensant que je l'avais perdu. Je ne faisais maintenant plus attention à rien ni à personne, à présent je ne pensai qu'à LUI et NOUS et je répéter sans sesse ses noms et surnoms dans ma tête. Si Ueda mourrai, mavie se terminerai mais je n'étais pas sûr qu'il soit descédé, alors ne voulnt pas décevoir son esprit, je continuai ma vie avec cet amour qui, je le pense, ne sera jamais comblé par celui que j'ai aimé, que j'aime et que j'aimerais.

(I LOVE, I LIKE AND I ADORE YOU UEDA TATSUYA)! ;p

Quand j'arrivai à mon hotel en Corrée, la nuit tombait. Je descidai d'aller me coucher espérant que quelque chose change ma vie pendant mon sommeil, mais je ne pu dormir correctement : je me réveillai au beau milieu de la nuit. Ne pouvant plus me rendormir, j'allai m'asseoir près de la baie-vitrée, observant la pluie d'étoile filante qui, bientôt devenaient aussi nombreuses que les larmes qui coulaient sur mes joues.

J'aurais tellement aimé que Tatsu soit avec moi pour voir ça!

La mélodie de mon portable s'échapa pour passer le pavillon de mes tympans. Je baissai la tête pour le regarder mais je ne voyais plus à force de pleurer. Je le pris alors pour répondre, en hoquetant.

"-...
-Mo-hic-shi!
-...
-Iie je suis-hic-en Corée!
-...
-C'est rien, je regardais les étoiles et j'ai pensé à quelqu'un.
-..."

Je repris soudain mes esprits. Et la panique m'envahie.

"Quoi? Il est arrivé quelque chose à...
-...
-Ah... Je... J'arrive demain, dans l'aprè-midi."

Je me levai soudainement pour aller faire ma valise rapidement et rentrer le plus vite possible a Tokyo. Pendant le trajet je me doutais que Tatsuya allait venir mais là n'était pas le but de mon retour puisque je rentrai pour...(suspens)... le gros orteil de Kame. XD

À Tokyo : En sortant de la chambre d'hopital de Kazu, j'aperçu Uepi qui arrivait. À cet instant, je voulu lui sauter dans les bras mais quand il pinça ses lèvres et ferma ses yeux très fort, je compris que le simple
fait de se voir nous faisait de mal. Je sentis les larmes monter à la limite de mes paupières et, ne voulant pas qu'il me voie, je partis, en courrant, vers la sortie (derrière lui) pour, au passage, je lui déposer un dernier baiser timide et lui chuchoter : "Le seul enfant que j'aurai pu porter aurait été le tien!".

[IRL c'est Ueda qui c'est cassé le gros doigt de pied ;____;]