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 libère toi de tes chaines by Eiko

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Jin

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MessageSujet: libère toi de tes chaines by Eiko   libère toi de tes chaines by Eiko EmptyMer 23 Mai - 16:39

Auteur : Eiko
Pairing : KoKame
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas
Note : Défi lancé par ma petite sœur

Je poussai la porte de notre appartement tout en retirant mes chaussures. Aussitôt il me sauta dessus pour m'embrasser. Ses lèvres chaudes se plaquèrent sur les miennes avec force et fougue. Nos langues se retrouvèrent avec bonheur. Ça faisait 5 jours qu'on ne s'était pas vus. J'avais dû partir pour le travail. Autant dire qu'il m'avait terriblement manqué. Sans me laisser le temps de poser mon manteau il me souleva pour m'emmener dans la chambre. Là, il me déposa sur le lit, commençant sans attendre à me déshabiller. Je me laissai faire, ne souhaitant pas gâcher nos retrouvailles. Enfin, c'était surtout que j'avais très envie de lui. Il me retira tous mes vêtements, ne me laissant même pas mon boxer. Avec un sourire sadique je le retournai pour faire la même chose. Dès que ce fut fait je le pénétrai violemment.Il ne broncha même pas. On avait fait tellement de parties de jambes en l'air depuis qu'on était ensemble...Ce fut seulement quand j'entamai une longue série de vas et viens qu'il commença à réagir. Des gémissements s'échappèrent de ses lèvres. Il glissa ses mains dans mes cheveux, tirant dessus. Voulant m'amuser un peu, j'allais chercher son point faible. Il se mit à haleter de façon incontrôlable. Alors je me retirai. Il me regarda avec de grands yeux étonnés. Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire. Ses lèvres si tentatrices formèrent une moue boudeuse. Il se tourna sur le ventre. Toujours en riant, je lui tapai un grand coup sur les fesses. Il me lança un regard noir que j'ignorai. Pour se venger il me mordit un grand coup l'épaule. Un cri de douleur franchit la barrière de mes lèvres. Vexé, je sortis de la chambre. Je m'affalai dans le canapé, le visage enfoncé dans un coussin. Quelques minutes plus tard sa main vint glisser sur mes mèches châtains. Je le laissai faire, faisant semblant de ne rien avoir senti.

- Kazu...excuses moi...je ne voulais pas...

Nerveusement, je me mis à rire. Il me retourna sans ménagement. Je me retrouvai sur le sol, lui sur moi. Avec un sourire je l'atirai à moi pour l'embrasser. Il en profita pour s'introduire en moi avec violence. Je ne sentis pourtant presque rien. Il se déhancha me faisant gémir. Je perdis tout contrôle sur mon corps. Sa virilité durcie s'avança du côté de ma prostate. Incapable de me retenir je me déversai. Le liquide blanc coula le long de son torse, tombant sur son magnifique tapis à 30000 yens. Il s'écarta brusquement en hurlant. En sentant qu'un nouveau fou rire allait s'emparer de moi je me mordis la langue. Je détournai le regard pour ne plus le regarder. Ça vallait mieux si je ne voulais pas le blesser un peu plus. D'un pas furieux il alla jusqu'à la salle de bain. Pendant un long moment le bruit de l'eau qui coule envahit l'appartement puis il n'y eut plus rien. Il revint dans le salon, complètement habillé. Sans bouger je le regardai enfiler ses chaussures et sa veste. Il sortit de l'appartement. A mon tour j'allai me nettoyer. Je passai l'après-midi seul. En début de soirée je commençai à m'inquiéter. Il avait beau être fâché, généralement il ne rentrait pas aussi tard. Vers 22 heures mon portable sonna. Je décrochai fébrilement. Un homme qui se disait être médecin m'apprit qu'il avait eu un accident de moto et qu'ilavait été emmené à l'hôpital. Au fur et à mesure qu'il me disait ça je me sentais pâlir. Tout ça à cause de moi. Dès que j'eus raccroché je me précipitai à l'hosto. Personne ne fit de difficulté pour me laisser entrer. On m'accompagna jusqu'à une chambre. Mon cœur se serra à me faire mal quand je le vis sous respirateur, le corps branché à des tas d'appareils par des fils. Je m'approchai doucement, m'asseyant à côté du lit. Sa main reposai sur le matelas. Je la pris dans la mienne.

- Pardonnes moi, Koki...Réveilles toi je t'en prie...Je suis désolé...

J'aurais aimé pleurer ; j'en étais incapable. Je ne pouvais que tenir que sa main tiède. Ce que je fis une partie de la nuit. Je finis cependant par m'endormir. Quand je me réveillai le lendemain matin il faisait jour. Ayant faim je sortit du bâtiment. Dans la rue je repérai rapidement un café dans lequel j'entrai. Une fois mon petit-déjeuner prit je retournai à l'hôpital. On me demanda de patienter un peu avant d'aller dans la chambre. Je n'eus d'autre choix que d'obéir. Enfin une infirmière et un médecin en sortirent en me faisant signe d'y aller. Il était réveillé.
Son visage était baigné de larmes. Je me figeai. C'était la première que je le voyais pleurer. Il tourna alors la tête vers moi. Ses lèvres s'étirèrent malgré tout en un léger sourire. Je m'approchai lentement meremettant à la place que j'avais quitté une heure plus tôt.

- Qu'à dis le médecin ?

Ma voix tremblait. Je sentait que la vérité serait dure à accepter. Il attendit plusieurs minutes avant de me répondre.

- Je ne pourrais plus jamais bouger...Je serai tétraplégique jusqu'à la fin de ma vie...

Autour de moi tout s'éffondra. La veille on m'avait mis au courant des circonstances de l'accident. Un chauffeur saoûl lui était rentré dedans. Il était resté coincé sous la moto, évanoui. Du coup j'avais de grosses envies de meurtres. Je voulais faire payer à cet homme, qui, j'étais pratiquement sûr s'en était tiré sans une égratignure.

- Kazu...Je ne veux pas vivre avec cet handicap...Je ne veux pas être un fardeau pour toi...Laisse moi partir...
-Non ! C'est hors de question que je te...
-
Libères toi de ces chaînes qui te forceront à t'occuper de
moi...Débranche un des moniteurs qui me maintiennent en vie...Je t'en
supplie...

Je secouai la tête, incapable de croire qu'il me demandait de le laisser mourir. Au même moment une infirmière entra dans la chambre. Il lui fit la même demande. Comprenant qu'elle allait accepter je la suppliai de ne pas le
faire. Koki me fit taire. Me résignant je l'embrassai pour la dernière fois. Je restai avec lui jusqu'à ce que la ligne de l'éléctrocardiogramme devienne une droite. Sans me retourner je quittai la chambre. Ce ne fut que quand je fus loin de l'hôpital que je m'éffondrai. Je me laissai glisser contre un mur, les larmes que j'avaisretenues pendant tout le temps que j'avais été avec lui roulèrent le long de mes joues. Sans lui ma vie serait vide. Il avait été tout pour moi. Je n'étais plus rien.

***FIN***
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Hyde

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MessageSujet: Re: libère toi de tes chaines by Eiko   libère toi de tes chaines by Eiko EmptySam 11 Aoû - 8:50

Arf...c'est moi qu'ai voulu une fin triste...;;;____;;; KOKIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Sad Sad Sad Sad Sad Sad Sad
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